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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 09:40

agenda.jpg

Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Réunion des chefs de services (Mairie)

-Réunion avec la Police Municipale (Mairie)

-Réunion de section du PS (Nérac)

Mardi matin

-Réunion de travail « eau » (Mairie)

-Rendez-vous (Mairie)

Mardi matin

-Réunion de travail service culture (Mairie)

-Inauguration des Restaurants scolaires (Ecole Jean-Moulin et Ecole Jean Rostand)

Mercredi matin

-Réunion CCVA

Mercredi après-midi

-Réunion Conseil Général

-Réunion marché « Saveurs et Guinguettes » (Conseil Général)

-Rendez-vous (Mairie)

Jeudi

-Session budgétaire (Conseil Général)

Vendredi matin

-Rendez-vous (Mairie)

Vendredi après-midi

-Réunion service culture du Conseil Général (Mairie)

-Repas Républicain Jérôme Cahuzac (Pujols)

Samedi matin

-Inauguration zone d’activité (Calignac)

Samedi après-midi

-Assemblée Générale Amicale Laïque (Nérac)

Dimanche matin

-Assemblée générale Ligue d’Aquitaine de cyclotourisme (Espace d’Albret)

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 08:08

agenda.jpg

Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Réunion des chefs de service (Mairie)

Mardi matin

-Rendez-vous (Mairie)

-Réunion Conseil Général

Mardi après-midi

-Réunion Commission Infrastructures (Conseil Général)

-Restitution publique diagnostic Agenda 21 (Espace d’Albret)

Mercredi matin

-Floralies de Pau : visite du stand de Nérac (Pau)

Mercredi après-midi

-Réunion Conseil Général

Jeudi matin

-Cérémonie du 11 novembre

Vendredi matin

-Rendez-vous (Mairie)

Vendredi après-midi

-Réunion Ateliers municipaux

-Concert Opus 81 (Eglise Notre Dame)

Samedi matin

-Rendez-vous (Mairie)

 

Article paru sur Médiapart concernant la manifestation lycéenne à Nérac

 

Luha Vieira, 17 ans, fait les cent pas devant le lycée George-Sand de Nérac, petite ville à 25 kilomètres d'Agen. Déçue. «Hier à Agen, le tractage s'est mal passé, les lycéens ne semblent plus motivés comme avant les vacances, et le groupe de musique prévu s'est décommandé pour le concert. Du coup, aujourd'hui, tout tombe à l'eau.» Dans la préfecture du Lot-et-Garonne, comme dans le reste de la France, une série d'actions lycéennes étaient prévues ce jeudi, avant la journée de mobilisation de samedi dans toute la France contre la réforme des retraites.

A l'issue de la journée, si à Paris quelque 300 lycéens et étudiants se sont rassemblés devant la faculté de Jussieu, si à Lyon, plusieurs centaines ont défilé, de même qu'à Toulouse ou Nantes, la mobilisation semble avoir marqué le pas. A Agen, blocage de lycées, rassemblement place du Pin, et concert à 14 heures, étaient prévus. Quelques tentatives (ratées) de blocage ont eu lieu, le reste a été annulé. «Fin de mouvement déplorable», se lamente Luha... 

Le 18 octobre, cette joviale terminale L était pourtant à la tête du défilé qui a bluffé Nérac. Ce matin-là, dans l'élan du mouvement lycéen, environ 300 élèves ont marché dans les rues de la petite ville du Lot-et-Garonne. Une cité paisible de 7000 habitants aux belles maisons à colombages, plus connue pour avoir été le fief des seigneurs d'Albret (la famille du roi Henri IV) que pour ses emportements militants. Nérac n'avait pas souvent vu une telle affluence... 

C'était un lundi : les rues étaient désertes, la plupart des commerces fermés. «On est un peu passés pour des imbéciles, on n'avait pas trop prévu que le lundi, tout est mort», rigole Sylvain Laffite, 17 ans, élève de terminale littéraire à George-Sand. Une bonne partie de la journée, les lycéens ont défilé dans le froid. Dès 7h30, Luha et quelques autres ont bloqué l'entrée du lycée. Puis ils sont allés chercher les élèves du lycée hôtelier, à quelques centaines de mètres. Direction ensuite le lycée agricole, à l'autre bout de la ville. «On a perdu pas mal de gens en route», se souvient William Ramadour, l'autre chef de file du mouvement, déjà actif il y a deux ans contre les réformes Darcos de l'éducation nationale.

Le lendemain, jour de grève nationale, 110 lycéens sont partis en bus défiler à Agen. Puis les blocages ont continué durant la semaine, juste avant les vacances scolaires. Depuis, le soufflé est retombé. Même à Agen ou Villeneuve-sur-Lot, les grandes villes du département, où les mobilisations ont été fortes –parfois émaillées d'incidents (un bus et une voiture de police caillaissée, etc.). Militante du NPA d'Olivier Besancenot, Luha est tout de même fière d'avoir réussi à bouger les lycéens de Nérac, réputés placides. «A Agen, mes amis de la coordination lycéenne étaient assez bluffés», raconte-t-elle.

Dans le Lot-et-Garonne, c'est ce réseau (le «noyau dur», dit Luha) constitué d'une trentaine de jeunes, dont un bon tiers de membres du NPA, qui a organisé la mobilisation. «L'UNL et la Fidl, ici, on ne les a jamais trop vus», explique Quentin. Cet ancien chef de file lycéen des manifs à Agen travaille aujourd'hui dans une chaîne de restauration rapide, mais il a prodigué ses conseils d'organisation tout au long de la mobilisation. Des recettes simples: tracter, mais aussi diffuser les appels au blocage par mail, Facebook ou les SMS, envoyés en rafales, puis transférés de téléphone portable en téléphone portable.

Jeune maire de Nérac, élu en 2008 après 25 ans de règne d'une figure locale de la droite, le socialiste Nicolas Lacombe n'est pas étonné par l'importante mobilisation des lycéens. «Il y a trois lycées avec des internats, c'est beaucoup pour une ville comme la nôtre: un héritage des années 60, quand il y avait de l’argent», dit cet homme de 35 ans, directeur d'école de profession.

Le jour de la manifestation, il a reçu Luha et William dans son bureau, a négocié pour eux des bus à deux euros par tête pour se rendre à la manif d'Agen (le tarif normal, c'est 6,10 euros, mais il devrait tomber à 2 euros l'an prochain grâce à une subvention du département).

L'édile garde de cette rencontre une impression mitigée. «Il n'y avait pas vraiment beaucoup de fond dans leur discours. Ça me fait plaisir qu'ils soient descendus dans la rue, mais j'ai l'impression que c'était aussi pour beaucoup un de ces petits frissons initiatiques comme chaque génération en connaît.» Sylvain Laffite, élève de 1re L confirme : «Evidemment, pas mal font les blocus parce qu'on ne va pas en cours pendant ce temps, ou en profitent même pour ne pas venir du tout. Mais il y a quand même des gens comme moi qui s'informent et se considèrent concernés, même si la retraite n'est pas pour tout de suite.»

Reste le fond. Selon l'élu, la mobilisation lycéenne est, comme la grève dans l'usine Babcock-Wanson, un élément d'une contestation plus large, l'expression d'une «inquiétude généralisée face à un climat social très pourri».

La crise diffuse du sommet, affirme-t-il. Sur les marchés, le maire de Nérac constate fréquemment la défiance de ses administrés envers le chef de l'Etat. «Il a une image déplorable. Les gens disent souvent qu'il est vulgaire, vraiment pas taillé pour le job, qu'il représente la collusion de la politique et de l'argent, même si dans le détail personne ne comprend rien à l'affaire Bettencourt. Ils ne croient plus à ses slogans de campagne, comme le “travailler plus pour gagner plus” ou la “République irréprochable”. C'est devenu un personnage allergisant.»

Même si Nérac reste relativement favorisée par rapport à d'autres communes du Lot-et-Garonne, Nicolas Lacombe observe surtout, chaque jour, le «malaise profond» de certains administrés, aggravé par la crise. «Je reçois quotidiennement une dizaine de CV de gens qui veulent travailler à la mairie. Ils sont prêts à n'importe quoi pour avoir un emploi un peu sûr.» Une interrogation personnelle, souvent doublée d'un sentiment de relégation, ruralité oblige. «L'Etat en milieu rural se réduit comme peau de chagrin.» A Nérac, la gare a fermé, de même que le tribunal d'instance, fin 2009. «Il a été remplacé par une borne interactive mais les gens n'ont pas du tout adhéré: personne ne l'utilise», dit le maire. Il n'y a toujours pas d'agence Pôle emploi: pour leurs démarches, les chômeurs doivent faire la route jusqu'à Agen...

Responsable local de la fédération de parents d'élèves FCPE, Hubert Cazalis évoque lui aussi une «exaspération globale». «Bien sûr, c'est sans doute exagéré de dire que les lycéens se sont tous mobilisés pour sauver leurs retraites. Mais les plus jeunes savent très bien qu'il est incohérent de leur demander de travailler plus longtemps, alors qu'ils auront déjà du mal à attraper un boulot une fois les études terminés, et que les plus de 50 ans travaillent peu.»

M. Cazalis sait de quoi il parle: il est aussi responsable du Point relais emploi de la communauté de communes. Il dit voir défiler dans son bureau des publics «pessimistes, désabusés, dont l'horizon est borné par la fin du prochain CDD ou de la mission d'intérim». Pour lui, la crise est loin d'être finie:«Les entreprises restent très prudentes quand il s'agit de proposer des formations, dit-il. Disons que la situation n'empire plus: elle se stabilise.» Pas étonnant, dit-il, que, dans ce contexte, les plus jeunes aussi «s'interrogent».

Mathieu Magnaudeix

 

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31 octobre 2010 7 31 /10 /octobre /2010 16:35

hotel-de-ville.jpgVoici mon propos introductif lors du débat en conseil municipal sur le rapport de la Chambre Régionale des Comptes sur la gestion 2004-2008 :

 

Le 10 mars 2009 nous avons été informés que la Chambre Régionale des Comptes d’Aquitaine allait procéder au jugement des comptes de la période 2004-2007 et à l’examen de la gestion communale de 2004 jusqu’à la période la plus récente.

Le 8 février 2010 a eu lieu l’entretien préalable avec le conseiller rapporteur auquel ont assisté mon prédécesseur Jean-Louis BRUNET, Bernard DALIES, ancien adjoint aux finances, Stéphane POMMIER, Directeur Général des Services, et moi-même. Bernard FAUCON-LAMBERT, actuel adjoint aux finances était empêché ce jour-là.

Le 22 avril, les observations retenues à titre provisoire m’ont été communiquées ainsi qu’à mon prédécesseur. Ce dernier y a répondu par écrit, ainsi que moi-même. Les conclusions définitives ont été notifiées le 9 juillet et le rapport d’observations définitives de la Chambre a été arrêté par jugement du 13 septembre.

Ce rapport porte sur quatre thèmes :

-La répartition interne des fonctions,

-La situation financière,

-Le personnel,

-Les relations entre la ville et certaines associations subventionnées.

Le code des juridictions financières impose une communication et un débat sur le rapport définitif.

Pour ma part, j’aborde ce débat bien évidemment sans volonté de polémiquer. Les remarques que je vais faire ne sont pas là pour altérer le bilan des 25 années de mandat de mon prédécesseur, bilan que j’ai publiquement salué à plusieurs reprises.

Mais j’apporterai mes commentaires sur la gestion entre 2004-2008 en mesurant quelles en sont les conséquences sur celle de la municipalité que je conduis.

Les remarques que je vais faire remettrons je l’espère les leçons de bonne gestion que nous pouvons recevoir ici ou là à leur juste place.

 

Alors que retirer de cette lecture ?

 

Les vingt trois pages du rapport d'observations mettent aujourd'hui en évidence, à travers quelques thématiques fondamentales en matière de gestion communale, le fait que l'image véhiculée par les élus ayant siégé et siégeant encore au Conseil Municipal durant la période objet du contrôle, mérite d'être très nuancée.

 

Les éléments que je retiendrai ont déjà été lourds de conséquences pour la nouvelle municipalité et l'évolution des pratiques internes de la collectivité depuis plusieurs mois témoigne de la rigueur avec laquelle nous avons pris en mains les affaires de la Ville.

 

La Chambre relève un certain nombre de désordres comptables dont la responsabilité est partagée.

Des régularisations seront nécessaires et devraient nécessiter des mouvements comptables qui même s'ils sont de pur ordre et lissés sur plusieurs exercices auront probablement des conséquences dommageables en matière d'autofinancement.

 

Dès à présent, je vous le dis, la collectivité n’acceptera pas un processus de régularisation qui pourrait aboutir à réduire les marges de manœuvre de la commune en matière financière, compte tenu du fait que des choix drastiques ont déjà été réalisés sur ce plan... et que ce ne sont pas les derniers.

 

Sur le plan fiscal (voir 2-2-2), il est regrettable de constater que de 2004 à 2008, la situation financière s'est tendue alors que le produit fiscal a évolué positivement du fait de la croissance des bases mais aussi des hausses votées de taux d’imposition.

Aujourd’hui, les marges de manœuvres fiscales sont jugées « assez faibles », ce qui veut dire, en temps de crise, inexistantes.

 

En ce qui concerne les dépenses d'équipement (voir 2-2-4), le constat est le suivant : hausse de fiscalité + bases fiscales dynamiques + emprunt = des dépenses d'équipement inférieures à la moyenne nationale des communes de même strate démographique...

 

Un manque de prudence regrettable est visible dans l'examen d'autres engagements pris par la Ville, à savoir les rentes viagères contractées en vue de l'acquisition d'une cave en sous-sol et du bâtiment, siège de l'actuel Office du Tourisme. Bien évidemment, je souhaite longue vie à ceux qui bénéficient de ces rentes viagères. Mais tout de même…

En ce qui concerne la cave, estimée en 1986 à 4 573 €, et pour laquelle, la collectivité a déjà versé 10 519 € en 2009, l'opération semble déjà inopportune sur le plan financier, même si nous sommes sur des sommes relativement faibles.

 

Mais que dire de la seconde rente, concernant un bien estimé à 82 322 € en 1990 et dont la valeur a été dépassée depuis juillet 2003. Au 15 septembre 2009, le montant (encore provisoire) du dépassement est de 39 865 € et les écarts continuent à s'accroître jusqu'à la fin du contrat prévoyant une rente annuelle de 5 381 €. Sans commentaire…

 

En ce qui concerne les budgets annexes de l'eau et de l'assainissement, la situation devenait encore plus critique (voir 2-3).

 

Si le prix global de l'eau demeure inférieur à la moyenne des communes du bassin Adour Garonne et du Département, l'analyse de ces budgets met en évidence une réelle difficulté de la municipalité de l'époque à assumer ses responsabilités compte tenu du financement des investissements très lourds à réaliser afin de maintenir un service dont la qualité n'est pas à remettre en cause.

 

Sur le budget de l’eau :    

            - les charges de gestion ont augmenté de 190,7% de 2004 à 2008

            - les intérêts d'emprunt ont évolué de plus de 77,8 %

            - le résultat de fonctionnement a chuté de 71,2 %

            - Le ratio de désendettement est passé de 6 ans en 2004 à 570 ans en 2007.

Il est par ailleurs constaté que la hausse des produits du service, c'est-à-dire l’augmentation du prix de l’eau, assumée par la nouvelle municipalité face à ce constat catastrophique, a permis de ramener la situation du budget de l'eau potable à des niveaux proches de 2004.

 

La santé du budget annexe de l'assainissement n'est pas plus reluisante.

 

En effet, il est noté une forte hausse des charges de gestion (+66,9%) en 2008.

L'encours de la dette a triplé entre 2004 et 2008. Rapporté au nombre d'habitants, il est passé de 91 € en 2004 à 273 € en 2008.

La situation est par conséquent considérée comme préoccupante, avec un ratio de désendettement de 125 ans et un fonds de roulement négatif (- 0,449 millions d'€).

L'actuelle municipalité s'est, ici aussi saisie de cet état de fait et dans le cadre du budget primitif 2010 a voté une hausse de produit susceptible de contribuer, sur plusieurs exercices, à retrouver des marges de manœuvre en la matière, en n'excluant pas d'étudier d'autres pistes, à savoir la mise en régie de la station d'épuration, et la facturation à elle-même de ses consommations, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent, en total irrespect des principes édictés par la loi sur l'eau ou tout simplement dans le respect du principe de sincérité budgétaire.

 

En conclusion sur ce chapitre, je constate que diverses décisions impopulaires ou qui grèvent les marges de manœuvre du mandat actuel auraient dues être assumées antérieurement. Mais aujourd’hui, je peux dire que nous nous sommes donnés les moyens, sur plusieurs exercices, de pérenniser le service public de l’eau et de l’assainissement auquel nous sommes très attachés.

 

L'ensemble de tous les éléments que je viens d’évoquer, au delà de permettre un inventaire objectif de l'héritage que l'équipe précédente laisse derrière elle, éclairent sur les choix que la municipalité actuelle a été et sera dans l'obligation de réaliser afin de réguler une situation tendue tout en assumant le projet de mandat sur lequel elle a été élue et dans le cadre financier qu’elle a posé : stabilité fiscale et maîtrise de la dette. Je ne vous cache pas que nous devrons opérer des choix budgétaires forts pour les trois années de mandat qui restent.

 

Pour autant, la municipalité que je conduis se doit d'assurer la continuité de la chose publique, ce qu'elle fait avec rigueur, tout en anticipant sur la mise en œuvre de son programme.

 

agenda.jpgAgenda du 1er au 7 Novembre

 

Lundi matin

-Visite cimetières Nérac

Mardi matin

-Rendez-vous (Mairie)

-Réunion secteur sauvegardé (Mairie)

Mardi après-midi

-Réunion secteur sauvegardé (Mairie)

Mercredi matin

-Réunion future zone d’activité départementale Nérac (Montgaillard)

Mercredi après-midi

-Réunion internet (Conseil Général)

-Conseil d’Ecole (Jean Rostand)

Jeudi matin

-Rendez-vous (Mairie)

-Réunion riverains rue Mozart (Mairie)

Jeudi après-midi

-Ecole Jean Rostand

Vendredi matin

-Rendez-vous (Mairie)

-Rendez-vous avec le Maire du Fréchou (Mairie)

Vendredi après-midi

-Réunion Ateliers municipaux

-Réunion Agenda 21 (Mairie)

-Centenaire d’un Néracais

Samedi matin

-Permanence au marché des élus (9h30-11h30)

Samedi après-midi

-Clôture Salon du Livre d’Histoire (Espace d’Albret)

Dimanche matin

-Assemblée Générale du Cyclotourisme (Salle des Ecuyers)

 

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 06:39

agenda.jpg

Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Point hebdomadaire avec les chefs de services (Mairie)

-Réunion mensuelle Police / Gendarmerie (Mairie)

-Ouverture Semaine bleue (Château)

Mardi matin

-Rendez-vous (Mairie)

-Réunion Conseil Général

Mardi après-midi

-Réunion Syndicat Mixte (Mairie)

-Rendez-vous (Mairie)

-Réunion Majorité municipale (Puy-Fort-Eguille)

Mercredi matin

-Point presse Floralies de Pau (Mairie)

-Conseil de surveillance (Hôpital)

Mercredi après-midi

-Bureau Municipal (Mairie)

-Réunion Train Touristique (Conseil Général)

-Conférence Nutrition Santé (Salle des Ecuyers)

Jeudi matin

-Rendez-vous (Mairie)

Jeudi après-midi

-Ecole Jean Rostand

Vendredi matin

-Rendez-vous (Mairie)

Vendredi après-midi

-Travail en Mairie

Samedi matin

-Marché

-Rendez-vous (Mairie)

-Repas Harmonie municipale / Madridejos

Samedi après-midi

-Concert Harmonie municipale / Madridejos (Espace d’Albret)

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10 octobre 2010 7 10 /10 /octobre /2010 08:26

agenda.jpg

Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Point hebdomadaire avec les chefs de services (Mairie)

-Réunion informatique (Conseil Général)

-Bureau municipal (Mairie)

-Assemblée Général Gym Volontaire (Salle des Ecuyers)

Mardi matin

-Rendez-vous Mairie

-Manifestation retraites (Agen)

-Réunion Conseil Général

Mardi après-midi

-Lancement Etats Généraux de l’agriculture (Conseil Général)

-Réunion du groupe majoritaire (Conseil Général)

Mercredi

-Absent (privé)

Jeudi

-Absent (privé)

Vendredi matin

-Rendez-vous Mairie

Vendredi après-midi

-Assemblée Générale Ribambelle (Centre Samazeuilh)

-Spectacle « Quelqu’un qui vous ressemble » (Espace d’Albret)

Samedi matin

-Assemblée Générale Amicale des Maires (Fumel)

 

 

manifestation-du-2-octobre-vos-photos.jpgLes propositions du PS concernant les retraites

 

En cliquant ici, retrouvez les propositions du PS pour l'avenir du système des retraites en France.

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 19:15

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Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Point hebdomadaire avec les chefs de services (Mairie)

-Réunion avec le Capitaine de Gendarmerie (Mairie)

Mardi matin

-Rendez-vous Mairie

-Assemblée générale de Nérac Accueil (Centre Samazeuilh)

-Réunion Conseil Général

Mardi après-midi

-Réunion de travail Mairie / CCVA (Mairie)

-Trajet Nérac - Nantes

Mercredi

-Visite zone d’activité de la Communauté de Communes « Cœur d’estuaire » (Nantes)

Jeudi matin

-Rendez-vous Mairie

-Réunion de travail piscine couverte (Mairie)

Jeudi après-midi

-Ecole Jean Rostand

-Réunion Préfecture (Salle des Ecuyers)

Vendredi matin

-Rendez-vous Mairie

Vendredi après-midi

-Réunion ateliers

-Travail en Mairie

Samedi matin

-Rendez-vous Mairie

 

Brechan.jpgBréchan : un hameau « développement durable »

 

Le hameau de Bréchan est « à cheval » sur les communes de Nérac et Lavardac. Jeudi soir, avec les habitants et les élus de Nérac et Lavardac, nous avons inauguré 670 000 € de travaux.

En effet, depuis le mois d’août, les habitations de Bréchan sont raccordées au tout-à-l’égoût. Une station d’épuration fonctionnant avec des roseaux, et gérée en régie municipale, permet de traiter les eaux usées du hameau. Ces travaux s’élèvent à 279 000 €, subventionnés à 56 % par le Conseil Général et l’Agence de l’eau Adour Garonne.

Nous avons profité du creusement de tranchées pour enfouir les réseaux électriques et téléphoniques pour 389 000 €, subventionnés à 80 % parle SDEE (Syndicat Départemental d’Electricité et d’Energie). Aussi, 23 points lumineux économes en énergie ont été installés pour un confort optimal des habitants.

Ces travaux, rendus possible grâce aux financements croisés que veut supprimer le gouvernement permettent à notre collectivité de rendre un service de qualité aux habitants tout en s’engageant dans une vraie politique de développement durable.

Concernant Nérac, il restera à assainir le hameau de Tauziette en 2011-2012.

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26 septembre 2010 7 26 /09 /septembre /2010 06:58

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Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Atelier Transport à la demande (Salle des Ecuyers)

-Point hebdomadaire avec les chefs de services (Mairie)

-Pose de la1ere pierre SES Vanderhave (Calignac)

-Réunion de section du PS (Nérac)

Mardi matin

-Rendez-vous Mairie

-Réunion de travail Secteur Sauvegardé (Mairie)

-Réunion Conseil Général

Mardi après-midi

-Réunion de travail PLU (Mairie)

-Conseil d’administration (Collège Henri de Navarre)

Mercredi matin

-Rendez-vous Mairie

Mercredi après-midi

-Bureau Municipal (Mairie)

-Assemblée générale amicale du personnel hôpital

Jeudi matin

-Pose de la 1ere pierre station de filtration de Séguinot (Nérac)

Jeudi après-midi

-Ecole Jean Rostand

-Inauguration des travaux du hameau (Bréchan)

Vendredi matin

-Réunion FOL (Agen)

-Centenaire d’une Néracaise (Centre Samazeuilh)

Vendredi après-midi

-Réunion ateliers

-Réception mairie

Samedi matin

-Rendez-vous Mairie

 

 

zone-medicale-24-septembre-2010.jpgZone d'activité du « Pin », un lieu dédié aux professions médicales et paramédicales

Nos territoires ruraux sont menacés par des phénomènes de désertification médicale au profit des grandes villes. Même si Nérac est préservée pour le moment de ce risque, il convient de l'anticiper et de créer les meilleures conditions possibles pour que les professionnels du secteur se développent.

La ville de Nérac a donc décidé de créer un espace sur un terrain de 10 000 M2 qui aura vocation à accueillir toutes les professions médicales et paramédicales intéressées. Il s’agit du premier espace de ce type dans le département.

Cette zone est positionnée entre le boulevard Pierre de Coubertin, et L'EHPAD d'Albret, derrière la future piscine municipale. Un grand parking d'environ 130 Places commun à la zone et à la piscine permettra un stationnement très facile.

L'aménagement de tout ce quartier sera donc impacté par la création de cette nouvelle zone. Plusieurs étapes sont prévues :

1- Création d'un bassin versant pour protéger le quartier en cas de fortes pluies

2- Travaux de la zone, du parking et de la piscine

3- Réfection du chemin du pin

4- Aménagement du boulevard Pierre de Coubertin

La création de cette zone dédiée s’inscrit dans une logique d'aménagement complet d’un quartier « chargé » (Cité scolaire, complexe sportif, Pompiers, ateliers municipaux, Hôpital, future zone de santé) afin d’offrir un service de qualité aux Néracais.

Dès que le plan d’aménagement sera affiné, il sera présenté aux riverains et professionnels potentiellement concernés.

 

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18 septembre 2010 6 18 /09 /septembre /2010 15:33

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Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Réunion transports scolaires (Mairie du Saumont)

-Point hebdomadaire avec les chefs de services (Mairie)

Mardi matin

-Rendez-vous Mairie

-Réunion Conseil Général

Mardi après-midi

-Commission Education (Conseil Général)

-Assemblée Générale de la FCPE (Espace d’Albret)

Mercredi matin

-Rendez-vous Mairie

-Opération Evabus (Collège Henri de Navarre)

Mercredi après-midi

-Bureau Municipal (Mairie)

-Journée Alzheimer (Hôpital)

-Réception Mairie

-Visite travaux

Jeudi matin

-Manifestation (Agen)

Jeudi après-midi

-Ecole Jean Rostand

-Assemblée Générale APPEL (Ecole Saint-Christophe)

Vendredi matin

-Réunion encadrement (Mairie)

Vendredi après-midi

-Réunion de travail (Conseil Général)

Samedi matin

-Assemblée Générale des tabaculteurs (Calignac)

Samedi après-midi

-Assemblée Générale des Amis du Vieux Nérac

-Mariage

Dimanche matin

-Virades de l’espoir (Barbaste)

Dimanche après-midi

-Fête annuelle du PS (Saint-Vite)

 

 

piscine-Nerac.jpgPiscine couverte : pourquoi il faut la faire maintenant

 

Jeudi soir, après un long débat de qualité entre l’opposition et la majorité, le conseil municipal a autorisé le lancement de la consultation des entreprises pour la construction de la piscine couverte. En raison de l’intérêt que ce sujet a suscité et en raison des propositions radicalement différentes qui s’offraient aux Néracais sur ce sujet, la piscine couverte a été au cœur de la campagne électorale de 2008.

 

Les deux propositions faites aux Néracais, quelles étaient-elles ?

 

La liste conduite par Gabriel CHAZALLON proposait une piscine couverte avec un bassin de 20 mètres et une partie remise en forme, située sur le terrain jouxtant le Ludoparc. Cette piscine aurait eu vocation à être gérée dans le cadre d’une délégation de service public (donc par un prestataire privé). Il s’agissait d’un projet plutôt ludique et touristique, bien que prévoyant l’accueil des scolaires, à condition que les transports leur soient payés par ailleurs. Une étude avait été commandée au cabinet Prestalis en juin 2007.

 

L’option présentée par l’équipe que je conduisais était différente. Nous proposions une piscine couverte de service public, à l’emplacement même de l’ancienne piscine d’été, par une rénovation et une couverture du grand bassin, ce site étant situé au cœur de la ville et au cœur du complexe sportif de Nérac. Le cabinet ADOC a été mandaté pour mener l’étude de faisabilité. C’est sur ce projet que le conseil municipal s’est prononcé jeudi soir.

 

Le coût total de l’opération est de 4 017 951 € HT, pour un montant de travaux de 3 238 000 € HT. Face à ce coût, et si j’ai bien compris l’argumentation de l’opposition, la question qui peut se poser porte sur l’opportunité ou non de réaliser cet équipement. Ma réponse est très claire : oui, il faut le réaliser maintenant.

 

En effet, la réforme territoriale qui se prépare, même si tout n’est pas encore arrêté, se dirige vers la limitation des financements croisés, voire leur fin, pour les investissements des collectivités. Or grâce à quoi notre piscine sera-t-elle en grande partie financée ? Par le régime d’aide mis en place pour les équipements de baignade conjointement par le Conseil Général de Lot-et-Garonne et la Région Aquitaine. Ce régime d’aide représente à lui seul 32 % du coût de l’opération HT et 40% du coût des travaux HT.

 

La piscine couverte est le dernier grand équipement public qui manque à Nérac. Sans chercher à être alarmiste, il est évident que nous sommes aujourd’hui à la fin d’une époque concernant la gestion des collectivités. Si nous ne réalisons pas cette piscine maintenant, nous ne la réaliserons jamais.

 

Aujourd’hui, même en réalisant la piscine couverte, nous maintenons notre objectif de sagesse fiscale – je rappelle que nous n’avons pas augmenté les impôts depuis notre élection – de même que nous maintenons notre objectif de ne pas présenter en 2014 une dette supérieure à celle trouvée en 2008.

 

Dans les prochains jours, un panneau d’exposition sera installé à la Mairie pour que les Néracais puissent venir découvrir leur future piscine couverte. Aussi, le bulletin municipal du mois de décembre présentera ce projet en détail.

 

Enfin, au tout début de l’année 2011, lorsque les appels d’offres seront ouverts et que toutes les subventions seront connues en détail, j’écrirai aux Néracais pour les informer des dernières données de ce dossier.

 

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 06:56

agenda.jpg

Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Point hebdomadaire avec les chefs de services (Mairie)

-Réunion des parents d’élèves (Ecole Jean Rostand)

Mardi matin

-Réunion travail Syndicat Mixte (Centre Haussmann)

Mardi après-midi

-Rendez-vous (Mairie)

-Réunion de travail régime indemnitaire (Mairie)

Mercredi matin

-Réunion zone d’activité départementale

Mercredi après-midi

-Réunion zone d’activité départementale

Jeudi matin

-Absent (privé)

Jeudi après-midi

-Ecole Jean Rostand

-Conseil municipal (Mairie)

Vendredi matin

-Travail en Mairie

Vendredi après-midi

-Réunion ateliers municipaux (Ateliers)

-Remise décrets naturalisation (Sous-Préfecture)

-Réunion de quartier Ladevèze

Samedi matin

-Marché des élus

 

 

mairie.jpgInterview parue dans Sud-Ouest le 9 septembre

 

Un des dossiers fondateurs de votre victoire a été celui de la piscine couverte. Qu'en est-il aujourd'hui ?

La campagne électorale avait proposé aux Néracais deux projets différents : celui de la liste conduite par Gabriel Chazallon et le mien, qui consistait en une rénovation et une couverture du grand bassin de la piscine municipale. Dès notre élection, nous avons lancé ce projet. L'étude a montré que l'option que nous avions choisie était pertinente. Aujourd'hui, nous arrivons au terme de la phase administrative : le permis de construire est déposé depuis juillet. Le conseil municipal du 16 septembre devrait autoriser la consultation des entreprises pour un début des travaux au premier trimestre 2011. Si le chantier se déroule sans retard, la piscine ouvrira au dernier trimestre 2012.

La Ville a-t-elle les moyens de supporter cette charge financière ?

Oui, bien évidemment, sinon nous ne la réaliserions pas ! Il n'est pas absurde d'avoir un projet d'investissement important par mandat. Pour celui-ci, ce sera la piscine couverte qui est un équipement utile et attendu. Les coûts de fonctionnement de la future piscine couverte, qui ouvrira neuf mois par an, sont estimés à 190 000 euros, alors que l'ancienne, qui n'ouvrait que trois mois, coûtait entre 70 000 et 90 000 euros par an selon les années. Nous sommes donc dans des proportions raisonnables et supportables par Nérac. De plus, à un horizon que je ne connais pas encore, la carte intercommunale évoluera. C'est le sens de l'Histoire. Il ne sera pas alors interdit d'imaginer qu'une fois cet équipement inscrit dans les habitudes de vie de tout l'Albret, la future Communauté de communes en assure la charge. Cela devra bien évidemment se faire en concertation avec tous les élus et sans précipitation.

La question des finances des collectivités est préoccupante. Tiendrez-vous l'objectif de ne pas augmenter les taux d'imposition ?

En tout cas nous l'avons tenu jusqu'à présent : nous avons voté trois budgets consécutifs sans augmenter les impôts, car ceux-ci sont déjà hauts à Nérac. Mon objectif est de poursuivre dans la voie de la stabilité fiscale. Le travail de prospective financière que j'ai demandé à mes services laisse penser que ce sera possible, à condition que le gouvernement ne poursuive pas sa politique de rigueur à l'égard des collectivités au-delà de ce qu'il a déjà mis en place ou prévu. Ce qui est certain, c'est qu'on ne gère plus en 2010 une collectivité comme à l'époque ou la décentralisation avait encore un sens.

Concrètement, par quoi cela se traduit-il ?

Par une maîtrise des budgets de fonctionnement et d'investissement. Pour le fonctionnement, nous nous sommes basés en 2010 sur le budget réalisé en 2009 avec des baisses sur certains postes.

Vous aviez un autre projet structurant, celui du Château, aujourd'hui englobé dans un projet plus vaste autour du patrimoine. Quelles sont les échéances à venir ?

Le projet de bâtiment d'accueil du Château avait été initié par la précédente municipalité. Je l'avais repris à mon compte lors de mon élection, car c'est un projet utile. Le Château de Nérac a un potentiel de développement culturel et touristique qui n'est pas exploité à plein. Cependant, au fur et à mesure de l'avancée de ce projet, les incertitudes s'accumulaient de façon dangereuse. J'ai réuni la majorité municipale. Tous les élus, en pleine connaissance du dossier, se sont exprimés et nous avons décidé à l'unanimité de l'ajourner. Dans son prérapport, la Chambre régionale des comptes a relevé cette décision de prudence. Pour ma part, autant j'étais prêt à assumer l'impopularité d'une architecture très contemporaine, autant je n'étais pas prêt à mettre en danger financièrement la commune. Mais nous ne pouvions pas en rester là. La Ville a déposé auprès de la Région un dossier pour que Nérac puisse s'inscrire dans la politique des Sites Majeurs d'Aquitaine. Notre dossier porte sur le Château et la Garenne, avec à la clé des financements de la Région tout à fait intéressants. Le Conseil régional délibérera en fin d'année. J'ai bon espoir que la candidature de Nérac soit retenue car nous avons présenté un dossier solide.

Les travaux courants occupent une grande part dans le budget. Arrivez-vous à répondre à la demande ? Continuez-vous les rencontres quartier par quartier ?

Nous n'avons jamais cessé les réunions de quartier. Nous avons récemment passé la vingtaine de rencontres. En 2009, nous avons consacré 1,3 million d'euros aux travaux de proximité. Depuis 2010, nous stabilisons à 200 000 euros par an les travaux en régie. Le travail de cet automne va consister à faire un retour écrit de ces réunions aux participants. Ces réunions sont importantes car elles permettent, au-delà du contact direct, de répondre immédiatement à des petits tracas du quotidien. Elles sont aussi des moments de convivialité. Par exemple, la réunion qui a eu lieu a Nazareth ce printemps a donné l'idée aux habitants du hameau d'organiser un repas de quartier qui a eu lieu sur la place il y a quelques jours. Enfin, ces réunions permettent à la municipalité de répondre à des questions plus générales sur la politique et la gestion municipales.

Vous évoquiez des points noirs pour le dépôt de poubelles dans la rue. Avez-vous commencé à verbaliser ? Avec quels effets ?

Il y a, au centre-ville, quelques points noirs liés soit à de l'incivilité soit à de l'inattention. J'ai fait apposer des affichettes sur ces lieux rappelant les jours de collecte. Cela signifie que les gens qui posent leur sac les mauvais jours sous ces affichettes le font en connaissance de cause. J'ai donc décidé de verbaliser, après un gros travail de sensibilisation par courrier nominatif. Quant à l'effet, il se fait déjà sentir même si ce n'est pas encore parfait.

Au printemps, la sécurité est revenue au premier plan. Avez-vous réactivé le Conseil intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance (CISPD) ?

Je préside le CISPD Nérac-Lavardac-Barbaste-Vianne. Je ne suis actuellement pas satisfait de la façon dont il fonctionne. J'ai donc fait à ses membres des propositions afin d'améliorer son fonctionnement. À savoir créer des commissions thématiques et avoir des projets à notre mesure. Concrets et modestes.

Y aura-t-il la vidéo-protection à Nérac ?

J'ai demandé aux services de l'État de venir présenter au conseil municipal un dispositif qui soit adapté à Nérac, avec une estimation du coût, afin que les élus puissent prendre une décision. Pour ma part, je n'ai pas d'hostilité de principe concernant la vidéo-protection dès lors qu'on n'attend pas d'elle plus que ce qu'elle peut donner. La loi encadre parfaitement ce dispositif.

 

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5 septembre 2010 7 05 /09 /septembre /2010 06:09

agenda.jpg

Lundi matin

-Ecole Jean Rostand

Lundi après-midi

-Point hebdomadaire avec les chefs de services (Mairie)

-Visite à domicile

-Conseil des maîtres (Ecole Jean Rostand)

Mardi matin

-Manifestation (Agen)

Mardi après-midi

-Point presse (Mairie)

-Préparation Conseil Municipal (Mairie)

-Bureau Syndicat Mixte (Mairie)

-Réunion de majorité (Mairie)

Mercredi matin

-Absent (Privé)

Mercredi après-midi

-Bureau Municipal (Mairie)

-Rendez-vous Mairie

Jeudi matin

-Réunion Police Municipale (Mairie)

-Rendez-vous Mairie

-Réception anciens internes collège (Centre Samazeuilh)

Jeudi après-midi

-Ecole Jean Rostand

-Présentation Saison culturelle (Espace d’Albret)

Vendredi matin

-Réunion de travail (Conseil Général)

Vendredi après-midi

-Réception de travaux du Conseil Général

Samedi matin

-Marché

-Rendez-vous Mairie

Dimanche matin

-Réception nouveau prêtre (Maison paroissiale)

 

 

_cole.jpgRentrée scolaire : toujours moins pour l’Ecole et toujours pire pour les élèves

 

Alors que 12 millions d’élèves ont pris jeudi le chemin des salles de classes, la rentrée scolaire 2010 s’annonce catastrophique. Les effets nocifs des mesures gouvernementales se conjuguent au détriment des élèves, des familles et des enseignants : nouvelles suppressions de postes, suppression de la formation pratique des enseignants, suppression de la carte scolaire et réforme du lycée.

Depuis 2008, ce sont 40 000 postes qui ont été supprimés. La droite s’attaque désormais avec détermination aux missions essentielles de l’Ecole, privant les équipes éducatives des moyens de faire réussir tous les élèves et de lutter efficacement contre l’échec scolaire. Luc Châtel a ainsi réclamé de ses services une augmentation des effectifs dans chaque classe, une diminution de la scolarisation des enfants âgés de deux ans en maternelle – alors que l’on sait que cette scolarisation est l’un des principaux leviers de la réduction des inégalités scolaires – et la suppression des Rased, ces enseignants spécialisés dans la lutte contre l'échec scolaire.

Les déclarations à l’emporte pièce du ministre sur l’autorité ne masquent pas la sombre réalité : l’encadrement diminue drastiquement. Le nombre de Conseillers principaux d’éducation (CPE) recrutés ne cesse de décroître (600 en 2002, 400 en 2005, 250 prévu en 2010). Les effectifs du personnel surveillant ont été presque divisés par deux depuis 2004. L’école manque de Conseillers d’Orientations Psychologues, d’éducateurs spécialisés, d’assistantes sociales, d’infirmières… Ce sont les plus fragiles qui souffrent de cette situation : cette année encore, le gouvernement se montre incapable d’offrir une solution de scolarisation à plus de 13 000 enfants en situation de handicap.

 

Cette rentrée sera aussi marquée par l’arrivée dans les salles de classes de nouveaux professeurs, affectés à plein temps, sans aucune formation pratique. Dans plus d’une dizaine d’académies, leur accompagnement par des professeurs expérimentés n’est même pas assuré, pas davantage que leur remplacement, quand ils seront en formation. Les parents, qui ont demandé sans relâche l’an passé que les remplacements des professeurs absents soient assurés par du personnel compétent et formé n’ont pas été entendus.

Cette année, les familles devront assumer les coûts de la précipitation dans laquelle ont été préparés les nouveaux programmes du lycée. La moitié des élèves de seconde n’auront pas de manuels à la rentrée. Le coût du renouvellement de l’ensemble des livres scolaires sera à la charge des familles.

Les acteurs de la communauté éducative n’ont été entendus ni sur la question de la violence (le gouvernement ayant refusé de prendre en considération les conclusions des Etats généraux sur la sécurité), ni sur la formation, ni sur les rythmes scolaires.

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