Voilà un an que les Français se sont prononcés contre le traité constitutionnel européen. L’occasion de constater un triste bilan pour l’Europe, qui reste bloquée, dans l’impossibilité d’accueillir dignement les dix nouveaux entrants. Toutefois, c’est aussi le moment de penser les solutions d’une relance européenne ambitieuse, sans amertume, en tenant compte des inquiétudes françaises.
L’Union européenne doit fonctionner sur la recherche de compromis.
Les socialistes, loin des divisions annoncées, ont à cœur d’établir un nouveau projet pour l’Europe, au vu du manque d’initiatives criant de la droite.
Pour Pierre Moscovici, Secrétaire national du PS à l'international, trois axes seront à mettre en œuvre : la relance économique et sociale, la définition claire des frontières de l’Europe, et la rédaction d’un traité institutionnel nécessaire au fonctionnement européen.
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